Notre Histoire
L’enracinement d’une famille Beaujolaise
notre histoire
Les origines
Les traces les plus anciennes de la famille Favre remontent au XVIIème siècle sur la commune de Le Perréon qui faisait autrefois partie de Vaux en Beaujolais (Le Perréon prenant son indépendance en 1890). A la sortie de la seconde guerre mondiale, Antoine Favre renouvelle cette longue lignée de viticulteur agriculteur et se marie avec Jeanne Perréon, qui comme son nom le présume, est une fille de vigneron du village. Tout mène dans les origines à ce petit coin de France où grandit leur fils Jean avec son frère et sa sœur.
Jean et Jocelyne Favre,
créateur du Domaine du Granit Bleu
En 1975, Jean reprend les vignes après des études viticoles à Beaune. Certaines ont été replantées par Antoine, son père, avec ses propres plants, et d’autres sont encore plus anciennes. Ils restent notamment une parcelle de 1922 qui donne une cuvée spécifique. En 1982, il est rejoint par son épouse Jocelyne, fille aussi de parents vignerons de la commune. Ils commencent alors la modernisation du cuvage et la commercialisation en bouteille.
Ils choisissent en 1986 le nom du Domaine du Granit Bleu, tirant son nom de la multitude des granits et des pierres bleues que l’on retrouve en Beaujolais. Le domaine s’agrandit petit à petit, collecte alors de nombreuses médailles et citations dans des guides, et voyage dans de nombreuses régions à la rencontre d’une fidèle clientèle. A partir des années 2000, ils arrivent même à acquérir deux crus du Beaujolais, Brouilly et Morgon, permettant d’élargir la gamme.
Jean et Jocelyne Favre,
créateur du Domaine du Granit Bleu
En 1975, Jean reprend les vignes après des études viticoles à Beaune. Certaines ont été replantées par Antoine, son père, avec ses propres plants, et d’autres sont encore plus anciennes. Ils restent notamment une parcelle de 1922 qui donne une cuvée spécifique. En 1982, il est rejoint par son épouse Jocelyne, fille aussi de parents vignerons de la commune. Ils commencent alors la modernisation du cuvage et la commercialisation en bouteille.
Ils choisissent en 1986 le nom du Domaine du Granit Bleu, tirant son nom de la multitude des granits et des pierres bleues que l’on retrouve en Beaujolais. Le domaine s’agrandit petit à petit, collecte alors de nombreuses médailles et citations dans des guides, et voyage dans de nombreuses régions à la rencontre d’une fidèle clientèle. A partir des années 2000, ils arrivent même à acquérir deux crus du Beaujolais, Brouilly et Morgon, permettant d’élargir la gamme.
L’aventure Syrah
Jean, adorant le célèbre cépage de la vallée du Rhône, décide au début des années 1990 de se procurer une parcelle de Syrah en Ardèche, à Mirabel plus exactement. S’ensuit alors de nombreux trajets dans l’année pour travailler la vigne, celui des vendanges se transformant notamment en colonie de vacances pour toute une troupe de vendangeur. Ce pari fou est une réussite et révèle un vin puissant. Cependant, en 2005, ils décident d’arrêter cette vigne qui prend énormément d’énergie, et laisse un vide chez les amateurs.
Les années précoces se succédant, l’idée émerge de planter de la Syrah sur Le Perréon. Avec les coteaux pentus, ensoleillés et granitiques du secteur des Roches, le terrain de jeu semble idéal pour la Syrah et c’est en 2013 que se concrétise la plantation, dernier grand projet de Jean et Jocelyne.
Adrien, la nouvelle génération
Né en 1993, Adrien vit une enfance baignée dans la viticulture, aidant tout naturellement sur le domaine de ses parents. Pourtant, ni lui ni ses sœurs n’envisagent de reprendre le flambeau avec la crise viticole en Beaujolais. Parti au départ dans l’industrie, il décide en 2021 de revenir aux sources en suivant d’abord des études en viticulture-oenologie puis en engrangeant de l’expérience dans la vallée du Rhône et en Australie. En 2024, il reprend officiellement le domaine avec la volonté de mettre en avant ses terroirs du Beaujolais qui est dans son ADN.
Adrien, la nouvelle génération
Né en 1993, Adrien vit une enfance baignée dans la viticulture, aidant tout naturellement sur le domaine de ses parents. Pourtant, ni lui ni ses sœurs n’envisagent de reprendre le flambeau avec la crise viticole en Beaujolais. Parti au départ dans l’industrie, il décide en 2021 de revenir aux sources en suivant d’abord des études en viticulture-oenologie puis en engrangeant de l’expérience dans la vallée du Rhône et en Australie. En 2024, il reprend officiellement le domaine avec la volonté de mettre en avant ses terroirs du Beaujolais qui est dans son ADN.
